Je reste mobilisée pendant le confinement, et, avec ma collègue Charlotte Parmentier, nous avons rencontré les professionnels de la santé au travail afin de travailler sur les points attendus pour notre réforme qui sera présentée à l’Assemblée Nationale en début d’année 2021.
Visite des locaux et rencontre des chercheurs de l’INRS (Institut National de Recherche et de Sécurité pour la Prévention des Accidents du Travail et des Maladies Professionnelles), acteur de référence de la santé et de la sécurité au travail, basé à Vandoeuvre-lès-Nancy.




Les nanomatériaux et leurs effets sur la santé.
Visite du centre de santé au travail ALSMT (Association Lorraine de Santé en Milieu de Travail) à Laxou et échanges avec les médecins du travail, les Infirmiers de Santé au Travail (IDEST) et les intervenants en Prévention des Risques Professionnels (IPRP) sur leur organisation, leurs missions et leurs propositions de réformes.
Tables rondes avec les acteurs du Grand Est : syndicats, chambres consulaires, Préfecture, DIRECCTE, Agence Régionale de Santé, organismes de santé au travail, préventeurs et entreprises de la santé au travail.
Nous faisons face à un bouleversement de nos méthodes de travail avec la crise (télétravail, protocoles sanitaires, etc), mais aussi avec l’apparition de nouveaux risques : allongement de la vie professionnelle, ruptures technologiques liées au numérique, pénibilité, désinsertion etc. La réforme de la santé au travail est nécessaire : c’est la garantie d’une meilleure protection et prévention des salariés.